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Moisenay

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Moisenay
Moisenay
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté de communes Brie des rivières et châteaux
Maire
Mandat
Geneviève Varoqui
2020-2026
Code postal 77950
Code commune 77295
Démographie
Gentilé Moseniens
Population
municipale
1 371 hab. (2021 en évolution de +1,41 % par rapport à 2015)
Densité 157 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 33′ 46″ nord, 2° 44′ 10″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 92 m
Superficie 8,72 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nangis
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Moisenay
Liens
Site web mairie-moisenay.com

Moisenay est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie

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Localisation

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Le village est situé à 7,5 km au nord-est de Melun.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Moisenay
Saint-Germain-Laxis Crisenoy Fouju
Maincy Moisenay Blandy
Sivry-Courtry

Géologie et relief

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La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Moisenay.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés :

  • la rivière l’Almont (ou ru d'Ancœur ou ru de Courtenain), longue de 42,15 km[2], affluent de la Seine en rive droite ;
    • le ru Bobée, 11,13 km[3], et ;
    • le ru du Goulot, 7,51 km[4], et ;
    • le ru de Bouisy, long de 11,66 km[5], affluents de l’ Almont ;
    • le fossé 01 de Beaumont, canal de 1,34 km[6], qui conflue avec l'Almont.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,93 km[7].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Nord-est du bassin Parisien »[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 715 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montereau-sur-le-Jard à 6 km à vol d'oiseau[10], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 657,9 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité

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Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[14],[15],[16].

Au , Moisenay est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle est située hors unité urbaine[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[18]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].

Lieux-dits et écarts

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La commune compte 87 lieux-dits administratifs[Note 2] répertoriés consultables ici[21] dont Petit Moisenay, la Maison Blanche.

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,6 %), forêts (19,8 %), zones urbanisées (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %), mines, décharges et chantiers (0,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[22].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[23],[24],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

Planification

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La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[25]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 565 dont 98,1 % de maisons et 1,9 % d'appartements[Note 3].

Parmi ces logements, 92,5 % étaient des résidences principales, 3,2 % des résidences secondaires et 4,3 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 88,5 % contre 9,6 % de locataires[26] dont, 0,2 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 4] et, 1,9 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports

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Le village et la commune sont traversés par le sentier de grande randonnée GR 1, entre Blandy à l'ouest et Maincy à l'est.

Le nom de la localité est mentionné sous les formes In Mosiniaco vers 1058[27] ; Terra Beati Petri Mosiniaco et Moysiniacum en 1085[28] ; Mosiniacum Magnum en 1172[29] ; Moisiniacum en 1194[30] ; Moisiniacum Magnum en 1203[31] ; Mosigniacum en 1204[32] ; Moisinetum et Mosenetum en 1209[33] ; Moisenaium en 1239[34] ; Moysiniacum Magnum en 1244[35] ; Moisigniacum en 1259[36] ; Moseneyum[37] Moseniacum Magnum[38], P. de Mosenai[39] et D. de Moseniaco au XIIIe siècle[40] ; Moisonney en 1339[41] ; Le Grant Moisenoy en 1340[42] ; Moisonnay en 1382[43] ; Mosonnoy en 1384[44] ; Moissonnay en Brie en 1403[45] ; Moysenay en 1507[46] ; Moisenay en Brie en 1566[47] ; Moisenet en 1572[48] ; Moisenet en Brye en 1651[49].

Moisenay vient du latin monasterium qui signifie monastère.

Le roi de France, Henri Ier, exempte les habitants de Moisenay et de Courceaux du droit de prise sur le bétail. Melun, [1054-1058]. Archives nationales de France.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 2014 Michel Le Flem   Retraité de l’Éducation nationale
2014 2020 Michèle Badenco    
2020 En cours Geneviève Varoqui   Retraitée de la fonction publique territoriale

Politique environnementale

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Équipements et services

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Eau et assainissement

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L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [50],[51].

Assainissement des eaux usées

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En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Moisenay est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [52],[53],[54].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[55]. La communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à l'entreprise Veolia, dont le contrat arrive à échéance le 31 juillet 2022[52],[56].

Eau potable

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En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [52],[57].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[59].

En 2021, la commune comptait 1 371 habitants[Note 5], en évolution de +1,41 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
607683689672874755731722702
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
682691708683750645675652667
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
683603596602628573588566740
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
7197257518249701 1611 1381 2381 371
2021 - - - - - - - -
1 371--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[60] puis Insee à partir de 2006[61].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Secteurs d'activité

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Agriculture

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Moisenay est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[62].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[63]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 5 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 93 ha en 1988 à 183 ha en 2010[62]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Moisenay, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Moisenay entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[62],[Note 7]
Nombre d’exploitations (u) 5 5 4
Travail (UTA) 7 7 5
Surface agricole utilisée (ha) 466 708 731
Cultures[64]
Terres labourables (ha) 452 689 707
Céréales (ha) 327 477 s
dont blé tendre (ha) 201 304 277
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 78 84 77
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) s s 71
Élevage[62]
Cheptel (UGBTA[Note 8]) 36 15 21

Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Martin.

Lieux et monuments

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Deux églises y cohabitent. L'une, au centre du village, est catholique, l'autre, à l'extérieur, est orthodoxe.

Personnalités liées à la commune

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Moisenay », p. 246–247

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  3. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  4. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  8. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Moisenay - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Plan séisme consulté le 4 mars 2020 ».
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Almont (F44-0400) ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru Bobée (F4468000) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Goulot (F4462000) ».
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Bouisy (F6614000) ».
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Beaumont (F4459000) ».
  7. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 14 août 2019
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Moisenay et Montereau-sur-le-Jard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Melun » (commune de Montereau-sur-le-Jard) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Melun » (commune de Montereau-sur-le-Jard) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Moisenay », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Moisenay », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Liste des espaces protégés sur la commune de Moisenay », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Moisenay ».
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  23. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur institutparisregion.fr (consulté le ).
  24. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur iau-idf.fr (consulté le ).
  25. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  26. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 12 août 2020
  27. Tardif, Cartons des rois, n° 275.
  28. Archives nationales, K 23, n° 3 bis.
  29. Archives nationales, LL 46, fol. 20.
  30. Archives nationales, S 2174a, fol. 13 v°.
  31. Archives nationales, S 1181b, n° 2.
  32. Archives nationales, LL 46, fol. 45 v°.
  33. Archives nationales, S 1344.
  34. Archives nationales,, S 1181, n° 4.
  35. Archives nationales,, S 1181, n° 1.
  36. Archives nationales, S 4899.
  37. Obit. Sens, I, p. 44.
  38. Obit. Sens, I, p. 427.
  39. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de la Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 367.
  40. Bibl. nat., ms. latin 1206, fol. 37 et 38.
  41. Archives nationales, X1a 8, fol. 61 v°.
  42. Archives nationales, S 1181b, n° 7.
  43. Archives nationales, S 1181b, n° 8.
  44. Archives nationales, P 131, fol. 15.
  45. Archives nationales, P 131, fol. 132 v°.
  46. Archives nationales, S 90.
  47. Archives nationales, P 9, n° 236.
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  50. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
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  58. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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  60. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  61. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  66. https://mgro.fr/2019/12/02/parution-de-la-lettre-du-vicariat