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Mobilisé comme soldat d'infanterie sur le front de la Moselle<ref>[https://www.retronews.fr/journal/beaux-arts/1-decembre-1939/1887/4218547/8 ''Beaux-arts''], Paris, {{1er}} décembre 1939, {{p.|8}}.</ref>, durant la Seconde Guerre mondiale, il est fait prisonnier puis interné au [[Stalag XVII-B|Stalag XVII B]]. Libéré début 1943, il expose cette année-là en juin à Paris dans la galerie du Club de France, [[Quartier Saint-Germain-des-Prés|quartier Saint-Germain]]<ref>[https://www.retronews.fr/journal/je-suis-partout/11-juin-1943/719/2125889/2 ''Je suis partout''], Paris, 11 juin 1943, {{p.|2}}.</ref>.
 
Durant les années 1940 et 1950, Soungouroff est très prolifique et expose ses œuvres dans des galeries prestigieuses de Paris, notamment à la [[Galerie Bernheim-Jeune|Galerie Berheim]], rue de La Boëtie, et sur la [[Côte d'Azur]]. En 1953, il est remarqué par son portrait de [[Jean Cocteau]] (galerie de l'Institut)<ref>[https://www.retronews.fr/journal/l-information-financiere-economique-et-politique/20-novembre-1953/2337/5254946/11 ''L'Information financière''], Paris, 20 novembre 1953, {{p.|11}}.</ref>, qui le parraine pour ses expositions<ref>[https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bd6t57365b/f10.item.r ''Les Lettres françaises''], Paris, 28 août 1952, {{p.|10}} — sur Gallica.</ref>.
 
Il travaille pour des magazines illustrés, produisant des dessins et des illustrations pour des publications telles que ''[[Le Rire]]'' ou ''[[Le Sourire (magazine)|Le Sourire]]''<ref>{{lien web |titre=Biographie d'Anatola Soungouroff<!-- Vérifiez ce titre --> |url=https://soungouroff.galerie-creation.com/_s/soungouroff-biographie/925840/ |site=galerie-creation.com |consulté le=23-11-2023}}.</ref>.
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